L’Archiveuse de Chocolat à quitté Montréal le 24 mars 1983 chargée d’une mission quinquennale d’archivage de chocolat dans 345 pays, états et républiques. La désormais mission de L’Archiveuse de Chocolat associée à l’infrastructure de communication ultra électronique doit éclairer la lanterne de l’humanité. D’après les observations faites par les plus éminents spécialistes
et corroborées ultérieurement par les amateurs les plus avertis, la qualité du chocolat à subi une dégradation progressive et exponentielle depuis le début de nombreuses années. La mission de l’Archiveuse de Chocolat est de visiter les entrepôts, les centres de distribution et d’approvisionnement en chocolat, d’effectuer des prélèvements et analyser les échantillons.
Les données concernant la qualité et les conditions de production dans chaque région, province, république ou état, recueillies par le système seront compilées, triées, comparées et confrontées afin de permettre entre autres d’établir avec la plus grande précision le degré de qualité.
L’Archiveuse de Chocolat n’est pas ronde mais elle roule, moissonne et archive les données scandaleuses au risque de faire frémir la diaspora de chocolat. L’Archiveuse est dotée des plus importantes innovations technologiques
dont les époustouflantes performances rivalisent de miniaturisation et de raffinements subtils avec les armements les plus futurigènes imaginés par les cerveaux de la destruction scientifique.
Le retour de l’Archiveuse de Chocolat à été programmé pour mars 1988, date à laquelle elle regagnera Montréal afin d’être entièrement démontée, inspectée et finalement présentée au Musée de la Lutte Contre la Désertification Culturelle. Le résultat du projet, l’ensemble des données recueillies, les analyses et études résultantes seront publiés à grands frais éventuellement.
Biographies
Artiste canadien d’origine française émigré au Canada en 1978.
Diplômé en architecture de l’Université Laval en 1982.
Collaborateur du « Centre de Recherche Neoiste » 1980 & de « .(La Société de Conservation du Présent) » 1985. Il obtient une bourse « Médias Intégrés » du CAC pour « Syntaxe error in 84 » [ collection vidéo du Musée d’art contemporain de Montréal ].
Connu pour ses oeuvres multimédia et de nouveaux médias, exposées dans des galeries à Toronto, Montréal et New York où il a également présenté des performances.
1997 Réalise « La vitesse du mensonge », film d’animation 3d, présenté au Festival International du nouveau cinéma de Montréal FINCM
1998 Produit « Plastinoïdz ][ le Retour » présenté au FINCM & en novembre il fait la couverture du magazine Beaux Arts « La révolution numérique »
1999 Présente le « Dinosaurium Technologique » à la SAT.
2008 Rejoint le « GRUHM » (Groupe en recherche urbaine) pour participer à l’élaboration et la diffusion de solutions alternatives au Projet de reconstruction de l’échangeur Turcot proposé par Transport Québec.
2009 Fonde le « Laboratoire de Simulation Urbaine », pour poursuivre l’expérience de communication autour de la maquette urbaine numérique comme source d’imagerie pour stimuler les débats sur l’évolution de la forme urbaine.
2013 Collaboration avec l’architecte Luc Durand sur le projet de recouvrement de l’autoroute Décarie. Un premier énoncé d’intentions est présenté à la Mairie d’arrondissement. Suite au décès de Luc Durand, (2018) Il termine la proposition et diffuse « Prolonger le tunnel Notre-Dame-de-Grâce ».
« L’exploration de Pierre Zovilé dans le domaine de l’art et de la technologie continue d’enrichir le paysage culturel canadien » ( MS.Copilot )