La littérature de l’Oulipo, les mots découpés du Dada et les cadavres exquis du surréalisme sont les terrains de jeux favoris de Caroline Barber. Ces procédés littéraires placent les mots au cœur de sa pratique créative. Les mots lui servent de véhicules d’imaginaire, d’images graphiques et font écho dans la matière tout comme dans son travail d’empoétineuse du quotidien.
Elle offre des ateliers littéraires dans les écoles et les bibliothèques de Montréal depuis plus de dix ans, participe au festival Metropolis bleu pour enfants et aux Fenêtres qui parlent. Son cinquième album jeunesse, Le vol, vient de paraître aux éditions les 400 coups.